Une charte graphique, c’est quoi?
Tout d’abord, l’élément central d’une charte graphique, c’est le logo. Il est décliné sur tous les supports de communication de votre entreprise. L’identité visuelle de votre entreprise est basée sur ce logo. Le logo représente votre activité, votre champ d’action et se doit de renforcer votre image. Il doit donner confiance à celui qui le regarde, à vos clients.
Ensuite, ce logo se décline et s’adapte sur tous vos supports de communication. Il doit apparaître sur vos cartes de visite, entêtes et suites de lettres, cartes commerciales, etc…
De plus, votre logotype doit aussi répondre à certaines règles fixées par le créateur. Règles typographies, colorimétriques et formats à respecter. Tout est figé pour que votre charte graphique soit constante et cohérente. Tout ceci dans le but de garantir une identité homogène et une unique voix. Une charte graphique de qualité est indispensable pour communiquer efficacement.
Selon Wikipédia, la charte graphique dont la dénomination correcte est cahier des normes graphiques est un document de travail qui contient l’ensemble des règles d’utilisation des signes graphiques qui constituent l’identité graphique d’une organisation, d’un projet, d’une entreprise. Le terme vient du latin charta qui signifie « papier ». En français il a pris le sens de « loi, règle fondamentale ».
Exemple de contenu d’une charte
Par ailleurs, chaque signe graphique utilisé par l’entreprise est classé par thème en précisant son sens et en établissant une liste des concepts qui s’y rattachent. En effet, l’essentiel est de rester dans l’univers graphique de l’entreprise ou parfois de le créer.
La charte graphique s’applique à définir (par ordre de conception) :
Le logotype : ses couleurs (définies grâcece au nuancier Pantone), sa position dans la page sur tous les supports (papier à en-tête, documents officiels, plaquettes, dossier et chemises, camion, etc.), la zone d’exclusion (espace protégé minimum autour du logo), ses déclinaisons sur des fonds blancs et de couleurs. La charte peut également définir les interdits : par exemple, l’interdiction d’apposer le logo sur un fond noir, de redimensionner le logo sans garder un rapport d’homothétie…
Les polices de caractères et leurs différentes fontes utilisées dans les documents afin de permettre de créer différents niveaux de textes et d’apporter un bon confort de lecture. En effet, la typographie est l’une des composantes essentielles de l’univers graphique d’une entreprise pour sa reconnaissance. Dans certains cas comme Renault ou l’Aéroport de Paris, on va jusqu’à créer une police de caractères spécifique.
Les jeux de couleurs indépendamment des supports indiquant ses références Lab.
Très souvent, on trouve les jeux de couleurs déclinables sur les différents supports de communication : d’une manière générale la charte indique les valeurs Pantone, CMJN, RVB et hexadécimale de chaque couleur.
L’utilisation d’éléments graphiques tels que filigranes, détail du logo agrandi, courbes, pictogrammes et traits spécifiques à l’entreprise.
Les principes du choix des images et des illustrations.
Parmi les problèmes que doit prendre en considération la charte graphique, citons la photocopie et la télécopie (fax) : les documents doivent résister à ces traitements en restant lisibles et identifiables. A cet effet, la charte prévoit parfois des versions simplifiées des logos, en noir et blanc ou avec des contrastes tranchés.
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Pour plus d’informations sur la création d’une charte graphique, visitez Charte graphique : définition, intérêt et exemples (eskimoz.fr)